Ce lundi 8, me voici parti avec Kat pour Annecy. En effet Kat avait cours à la chambre des métiers car elle à décidé de poursuivre son cursus pour être un de ces jours prof.
Pendant ce temps là, j'en ai profité pour aller voir un des sites de parapente les plus fréquenté de France : Planfait. Il se trouve au bord du lac d'Annecy à coté de Talloires.
Au bord de l'atterrissage se trouve une concentration de mag spécialisés du vol libre et quelques écoles où les profs distillent leurs savoir aux néophytes ou aux volants désireux de se perfectionner.
Ne connaissant pas vraiment le déco de Planfait ni son accès, je demande aux écoles s'ils n'ont pas une navette dans laquelle il y aurait une petite place. Réponse négative, nous ne sommes plus en pleine saison et la seule navette est déjà remplie d'élèves.
Ne connaissant pas vraiment le déco de Planfait ni son accès, je demande aux écoles s'ils n'ont pas une navette dans laquelle il y aurait une petite place. Réponse négative, nous ne sommes plus en pleine saison et la seule navette est déjà remplie d'élèves.
Ni une ni deux, je prends le sac et décide de monter en stop. Sur les 100 mètres qui me séparent du point stop, je fais la connaissance d'un autre parapentiste auto stoppeur,Hervé.
Au bout de 10 minutes et quelques voitures arrêtées nous décidons de prendre ma caisse, Hervé me remontera une fois le vol effectué.
Il me propose de ne pas faire comme tout le monde et de ne pas décoller à Planfait mais au dessus, à 45 minutes de marche. J'accepte assez rapidement malgré plusieurs facteurs qui en auraient dissuadé plus d'un :
1) je ne suis pas en vêtements sport et n'ai qu'un jeans
2) je n'ai pas mangé depuis le pti-dej
3) le déco la haut est dans les nuages
Au bout de 10 minutes et quelques voitures arrêtées nous décidons de prendre ma caisse, Hervé me remontera une fois le vol effectué.
Il me propose de ne pas faire comme tout le monde et de ne pas décoller à Planfait mais au dessus, à 45 minutes de marche. J'accepte assez rapidement malgré plusieurs facteurs qui en auraient dissuadé plus d'un :
1) je ne suis pas en vêtements sport et n'ai qu'un jeans
2) je n'ai pas mangé depuis le pti-dej
3) le déco la haut est dans les nuages
Nous partons tout de même sur le petit sentier escarpé en pleine forêt, en 5 minutes le jeans colle avec la transpi, je suis essoufflé par ma mauvaise condition et par le surplus de poids qu'ont laissés les kouign amann (humm!). Une pause s'impose. Je finirais la grimpette en caleçon malgré les 13 degrés ambiant.
Au 2/3 du parcourt nous rentrons dans le brouillard et sortons de la forêt pour les alpages d'herbe. Mon guide de rando me raconte que souvent les nuages se dissipent vers 14h30, que le paysage est magnifique, que le déco est une belle petite pente comme à la pente école, ... Il me motive car derrière lui je tire la langue.
Nous y sommes enfin, voici le col des frêtes ! 2 autres rando-voleurs, ils sont montés par l'autre versant et attendent depuis près d'une heure leurs voiles étalées et prêts à partir.
Le vent est de "cul" (le mieux étant d'avoir du vent de face pour gonfler la voile) et les nuages nous entourent.
Bla bla bla ... Oh, on commence a voir un peu devant, puis vient enfin la vision tant attendu : le lac.
Tout le monde décolle rapidement et part de son coté.
Pendant une heure j'en prends plein les mirettes, regarde de temps en temps les "autres", ceux qui n'ont pas marché tourner en rond à 10 dans un thermique. Au bout d'une heure ma ballade se termine par un atterrissage tranquille. Une seule petite appréhension, où est passé Hubert ? Je vais devoir remonté en stop.
Et non il atterrit 5 minutes après moi (je ne l'avait pas vu de tout mon vol), elle est pas belle la vie ?
Il me remonte en moto, équipé de mon casque de parapente, récupère la voiture et fille sur Annecy pour chercher Kat.
Nous y sommes enfin, voici le col des frêtes ! 2 autres rando-voleurs, ils sont montés par l'autre versant et attendent depuis près d'une heure leurs voiles étalées et prêts à partir.
Le vent est de "cul" (le mieux étant d'avoir du vent de face pour gonfler la voile) et les nuages nous entourent.
Bla bla bla ... Oh, on commence a voir un peu devant, puis vient enfin la vision tant attendu : le lac.
Tout le monde décolle rapidement et part de son coté.
Pendant une heure j'en prends plein les mirettes, regarde de temps en temps les "autres", ceux qui n'ont pas marché tourner en rond à 10 dans un thermique. Au bout d'une heure ma ballade se termine par un atterrissage tranquille. Une seule petite appréhension, où est passé Hubert ? Je vais devoir remonté en stop.
Et non il atterrit 5 minutes après moi (je ne l'avait pas vu de tout mon vol), elle est pas belle la vie ?
Il me remonte en moto, équipé de mon casque de parapente, récupère la voiture et fille sur Annecy pour chercher Kat.
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